A ... Ta voix
Un paravent et quelques
mètres nous séparent
Et quand j’entends ton rire,
mon cœur bat la chamade
Un rire chaud qui sort du
cœur, mais hélas trop rare
Un rire naturel, innocent
comme celui d’une naïade
C’est pour moi un moment de
suprême extase
Des mots, des sons, si harmonieux,
presque aériens
Des mots si beaux, si doux
comme une framboise
Enfin tu t’es approchée, tu
étais là, à côté de moi
Ton aura te précède et j’ai
ressenti ta présence sans te voir
Je n’ose te regarder, tant j’ai
peur d’exprimer mon émoi
Tu me parles, je bois tes
paroles… au désespoir.
Mon admiration pour toi est
sans limite
Je sais que je suis indigne
de toi
Pardonne moi pour cette
longue litanie