10 juillet 2011
Djâmi, poète iranien du XVème siècle a dit : Le
Djâmi, poète iranien du XVème siècle a dit :
Le tourment de la présence est pis que celui de l'absence.
Pour penser cela, Djâmi ne devait pas te connaitre, mon Ange.
Heureusement Jean de La Fontaine, bien plus tard a enfin rétabli la vérité en écrivant :
L'absence est le plus grand des maux.
Peut-être a-t-il connu l’une de tes ancêtres ?
Et François de La Rochefoucauld l’a certainement fréquentée car lui aussi a subit la douleur de l’absence. Il l’a même exprimé en écrivant :
L'absence diminue les médiocres passions, et augmente les grandes, comme le vent éteint les bougies, et allume le feu.
Tu vois mon Ange, ton absence, loin de faire disparaitre cette passion, me consume de l’intérieur. Me détruit inexorablement.
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