La première fois que je l’ai aperçueJ’ai eu
La première fois que je l’ai aperçue
J’ai eu l’impression de toujours l’avoir connue
Quand j’ai croisé le regard de cette blonde si belle
J’ai compris que je serais à jamais fou d’Elle
Depuis ce jour merveilleux,
Mon cœur se consume à petit feu,
Plus de dix ans maintenant sans que je me lasse
Plus de dix ans que je rêve qu’elle m’embrasse
J’ai tout fait pour oublier tout cet amour
Qui me détruit un peu plus chaque jour
Mais rien à faire, je suis comme envoûté
Complètement subjugué à n’en pas douter
Mon cœur est maintenant brisé à jamais
De puis ce jour maudit où je lui ai avoué ma passion
Depuis que je lui ai dit que je l’aimais
Et qu’elle y a opposé un refus sans concession
Fou que je suis d’avoir osé penser
Qu’un être aussi exceptionnel, aussi rare
Puis m’accorder rien qu’une pensée
Ou même seulement m’adresser un regard
Je continue pourtant à espérer je ne sais quoi
Peut être par masochisme ou par désarroi
Je ne peux m’empêcher de lui faire comprendre
Par des attitudes, des sourires, des regard tendres
Que son refus n’a en rien entamé cette passion
Qui chaque jour grandit, prend de l’expansion
A en devenir une véritable et diabolique obsession
Pour cette blonde si gentille, cet être d’exception.