12 mai 2008
A comme Airain
L’Airain, le bronze du poète,
si résistant, si dur, presque éternel.
L’airain, grâce auquel Auguste
Rodin connut très tôt la gloire.
L’airain me fait penser à l’éternité,
à l’infini… Comme l’amour que j’ai pour mon Ange.
Chaque jour, j’essaie de me
résonner, de me dire que je DOIS l’oublier, que je dois arrêter de penser à
Elle
Mais rien n’y fait, je suis
envoûté par tant de grâce, tant de bonté, tant d’humanité, tant de beauté.
Mes sentiments à son égard sont
gravés dans l’airain, ils sont éternels.
Mon Ange, je sais que tu ne
partageras jamais mes sentiments, mais je t’en supplie, laisse moi t’aimer dans
les lignes de ce blog, dans le fond de mon cœur, dans les méandres secrètes de
mon esprit. Pour l’éternité.
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