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Quand tu es entrée, mon âme s’est embrasée
Heureusement dissimulée par un peu de timidité
Alors encore une fois j’ai pris ma plume
Et j’ai écris tous ces mots, reflet de mon amertume.
Rejetant tant bien que mal toute pensée lubrique
Les transformant en doux rêve érotique
Cherchant en vain par quel moyen te séduire
Sans pour autant dans ta vie te nuire
Mon Dieu, comme tu es adorable
Femme parfaite aux mille vertus louables
Je ferme les yeux pour ne pas voir, en vain
Ta jolie chute de rein ou tes sublimes petits seins
Tant de pensées si peu sages pourraient t’effrayer
Alors dans ce billet sur ce blog, je les ai noyées
Je tente de repousser ce troublant sortilège
Qui s’insinue en moi, satanique florilège.
Je sais qu’avec toi, je ne pourrais m’ennuyer
Que de tout ton être je m’enivrerais
A perdre mon âme, je te choirais
Je suis prêt à donner ma vie, si c’est le prix à payer